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Son oeuvre - Page 2

  • Un conférencier infatigable

    3e79e8ab86aad87d3c7eae0e8b8c6f04.jpgRares sont les écrivains qui auront animé autant de conférences que le fit Daniel Raffard de Brienne. Convaincu que l'écrit ne suffisait pas à son action militante, il multiplia les conférences dans toute la France, en Martinique, en Italie, en Ukraine, en Pologne et dans tant d'autres endroits. La parole appuyant l'écrit et surtout lui permettant un contact direct avec ses lecteurs, il pouvait ainsi répondre aux nombreuses questions des auditeurs et parer, en direct, aux principales objections de quelques rares contradicteurs.

    Il mena donc des centaines de conférences sur les thèmes majeurs de son oeuvre - Saint Suaire, évolutionnisme, la messe - mais aussi sur de nombreux sujets que son érudition lui avait permis d'embrasser puis de maîtriser.

    Son livre de souvenirs, Droit vers l'azur, relate l'activité intense de ce militant du bien commun. Toute sa vie fut animée par le souci d'agir en vue du bien commun et il ne pouvait concevoir une vie sans le souci d'agir pour lui donner un sens et de lutter en permanence pour que la vérité triomphe de l'erreur et le bien du mal. Il s'étonnait toujours de la vacuité de beaucoup de nos contemporains et des futilités qui semblent les animer. Dans Droit vers l'azur, il nous offre, sans que ce soit le but de l'ouvrage, le modèle de ce que peut être une vie vouée à la vérité et au farouche besoin de la transmettre.

  • Droit vers l'azur

    5eb3014799c2d28f7abba96dda663f81.jpgDans son dernier livre, Droit vers l'azur. Souvenirs, préfacé par Vladimir Volkoff (Editions Consep, Paris 2003), Daniel Raffard de Brienne retrace sans indulgence ni sentimentalisme le long itinéraire de sa vie, avec un goût du détail et de la précision qui manifeste le profond sérieux de son inspiration d'écrivain.

    Les Souvenirs entrent pour ainsi dire dans le vif quand, arrivé au XIVe chapitre, l'auteur annonce : "Une fois libéré des soucis professionnels, je vais me consacrer presque entièrement à lutter contre la désintégration de l'Eglise et de la société". Ce sont les années qui suivent immédiatement le Concile Vatican II, un événement qui a laissé des dévastations profondes dans la vie de l'Eglise et de la société. Raffard de Brienne n'est pas demeuré insensible au désastre.

    Il est l'un de ces hommes encore capable d'indignation, même s'il cache la force de ses sentiments derrière le voile de l'ironie. Il se jette dans la mêlée comme acteur, imprimant un rythme vertigineux à ce qui, pour la majeure partie des hommes de son temps, représente l'âge tranquille de la retraite. Conférencier à succès, auteur de livres et de brochures vendus à des dizaines de milliers d'exemplaires, doué d'un style brillant et de la capacité de vulgariser les thèmes philosophiques et théologiques les plus difficiles, il parcourt la France et l'Europe dans tous les sens et se démontre bientôt comme une figure importante des écrivains catholiques contemporains.

    Sa nomination à la Présidence de l'Association des écrivains catholiques de langue française et à celle du C.I.E.L.T., l'association d'étude du Saint Suaire, couronne son engagement intellectuel. En trente années de militantisme, sa biographie s'entrelace avec celle du monde traditionaliste, à l'intérieur duquel il se meut avec prudence mais également avec une suprême indépendance, prenant la mesure de ses vertus et de ses faiblesses humaines. "C'était - rappelle-t-il -  comme marcher sur l'arête d'un toît" (p. 225).

    Sous l'aspect de l'intérêt historique pour le lecteur, Daniel Raffard de Brienne aurait pu commencer son livre page 219, taillant la première partie et étoffant la seconde. Il est appréciable qu'il ne l'ait pas fait. Il n'a pas voulu écrire les mémoires d'un traditionaliste mais celles d'un homme de son temps, dont la vie de famille et professionnelle est inséparable de son militantisme traditionaliste.

    En écrivant cette oeuvre, Raffard de Brienne a accompli un acte de courage intellectuel. A une époque qui veut se débarasser du passé afin de s'immerger dans le présent et dans l'éphémère, proposes les souvenirs de sa propre vie est un acte par lequel l'auteur s'oppose au totalitarisme de la pensée unique qui refuse tout ce qui est patrimoine personnel, à commence par l'identité et la mémoire.

    La signification des Souvenirs de Daniel Raffard de Brienne est résumée par ces mots tirés de sont introduction : "Je pense qu'il est du devoir de chacun de faire connaître ce qu'il a su du passé". L'accomplissement consciencieux des devoirs de la part de chacun, au niveau familial, professionnel mais également public, religieux et moral est le fil conducteur d'une vie menée à l'enseigne de la cohérence qui devient en elle-même une valeur à transmettre".

    Correspondance européenne n° 122/06 du 20 novembre 2004

  • Pour Noël, des livres pour enfants

    7920ca2f422f3aa92044bcb017b9351a.jpgPour la fête de Noël, les éditions Clovis, dans leur catalogue général 2008, consacrent une demi-page aux trois petits livres de Daniel Raffard de Brienne contant les vies de Sainte Constance de Compiègne, Saint Antoine de Padoue et Sainte Odile d'Alsace.

    Les éditions Clovis conseillent ces livres pour les enfants de 10 ans et c'est une excellente occasion d'offrir un cadeau édifiant à l'occasion de la plus belle fête de l'année. Le prix attractif de ces petits ouvrages en fait éventuellement un présent complémentaire qui, outre le bénéfice spirituel évident, leur montrera qu'il y à une vie hors du tout-plastique et du tout-numérique.

    Voici par exemple ce que présente la quatrième de couverture du Constance de Compiègne.

    "En 1788, une jeune fille de 23 ans entra au Carmel de Compiègne. Elle reçut le nom de soeur Constance. Elle aurait dû prononcer ses voeux le 15 décembre 1789 et passer sa vie en prière dans le silence du monastère.

    Mais, le 28 octobre, les voeux religieux furent interdits. La vie monastique fut ensuite combattue. Alors commença, pour soeur Constance et ses 15 compagnes du Carmel, une vie d'errance et de persécution qui les mena à offrir leur vie pour "apaiser la terreur" en France."

    Editions Clovis

  • Le secret du Saint Suaire

    ac69bf9279c45027a0eeaaaf6af00c98.jpgLes résultats de la recherche historique, les études iconographiques et surtout la Science, dans ses développements les plus récents, convergent pour démontrer de manière irréfutable que le Saint Suaire est réellement celui du Christ et qu'il est le témoin éloquent de sa Passion et du miracle de sa Résurrection, le seul miracle nécessaire du Christianisme, celui sans lequel, selon saint Paul, vaine serait notre Foi.

    C'est ce témoignage bouleversant qui constitue le véritable Secret du Saint Suaire. Un secret qui a traversé deux millénaires, sans être même soupçonné, pour imposer sa révélation à notre époque blasée et incroyante, la moins propre à l'accepter.

    Un chapitre entier de cet ouvrage d'une clarté remarquable est consacré à ce que l'on peut appeler "l'affaire du carbone 14". Daniel Raffard de Brienne y démontre que l'on ne peut accorder aucun crédit à ce test concluant à un faux alors que l'ensemble des preuves scientifiques précédentes, amplement suffisantes par elles-mêmes, convergent pour attester, de façon indiscutable, de l'authenticité de la relique.

    Voici comment Daniel Raffard de Brienne conclut ce chapitre : "Si le lecteur a eu la patience de parcourir les lignes qui précèdent, il aura noté l'accumulation de contradictions, plutôt surprenantes dans une telle expertise d'un tel objet. Il en aura certainement tiré l'impression du camouflage maladroit d'une substitution de tissus. Et s'il ajoute à cela toutes les anomalies, il conclura que l'on ne peut accorder aucun crédit à la datation faite sous le contrôle du docteur Tite en 1988."

     

    P.S : Daniel Raffard de Brienne fut président du C.I.E.L.T, nous y reviendrons.

  • La désinformation autour des origines de l'homme

    ce1fe12c7a9f6e9eab9e15890d0bbaf4.jpgTroisième ouvrage que Daniel Raffard de Brienne consacra au sujet controversé des hypothèses évolutionnistes. Il s'agit d'une synthèse d'une cinquantaine de pages, très aisée à lire et qui peut constituer une excellente entrée en matière avant d'aborder Pour en finir avec l'évolution.

    Le souci de la synthèse et de la formule de l'auteur apparaissent pleinement dans sa conclusion :

    "La généalogie prouvée de l'homo sapiens (l'homme actuel) ne remonte pas plus loin que... l'homo sapiens.

    Il a existé et il existe des ressemblances entre les hommes et certains animaux, mais on ne trouve pas la moindre trace ni la moindre vraisemblance qui indique les rapports de parenté entre les uns et les autres.

    Il en est ainsi de toutes les étapes que l'évolutionnisme a tenté de définir pour expliquer les faits souvent étranges dont la géologie et la paléontologie découvrent les témoins.

    La théorie évolutionniste se heurte à tant d'obstacles et à tant d'impossibilités qu'il serait déraisonnable de continuer à la soutenir, à moins, bien sûr, d'y être contraint par des motifs idéologiques fort éloignés des données scientifiques.

    Continuer à asséner l'évolutionnisme comme une vérité établie, que ce soit par des films télévisés ou des manuels scolaires, c'est faire oeuvre de désinformation."

     Ce livre est disponible (entre autres) à SA DPF, BP 1, 86190 Chiré-en-Montreuil

  • Evolution : mythe ou réalité

    6ad4dfe736d8a3ca45c0e7e63b2558ec.jpgDans ce numéro spécial de Lecture et Tradition (n° 143-144), Daniel Raffard de Brienne, dans un exposé rigoureusement construit de 56 pages, met à mal les théories évolutionnistes. Passant en revue les connaissances scientifiques les plus indiscutables à ce jour, il en vient à la conclusion que"...l'évolutionnisme, loin d'être un dogme irréformable, ce n'est pas sérieux."

    Une partie de la conclusion de ce fascicule donnera une idée de la conclusion très nette et sans appel que l'auteur retire d'années d'étude des principales recherches scientifiques sur le transformisme ou évolutionnisme.

    "Angoissé par l'incertitude d'un avenir que borne seule la certitude d'une mort sans date ni visage, l'homme sonde éperdumment le passé pour tenter d'y découvrir la clef de son présent dans le secret de ses origines. Mais ses recherches ne lui ont révélé jusqu'ici que quelques pièces disparates d'un puzzle dont il ignore le dessin.

    Il est bien légitime que naisse le désir de reconstituer le puzzle en partant de quelques morceaux retrouvés. Les évolutionnistes s'y sont essayés. Et ils ont échoué. Totalement. Leur reconstitution se heurte, nousl'avons vu, à une série d'impossibilités dont une seule suffirait à la ruiner.

    Les évolutionnistes ont eu raison d'essayer. Ils ont tort de s'obstiner. Il est arrivé qu'un hypothèse erronée fît avancer la Science. Cela ne peut plus se produire lorsque l'on s'entête dans l'erreur au point d'ajouter au puzzle des pièces imaginaires et sans vraisemblance, d'en retrancher d'authentiques qui dérangent, d'en modifier certaines en les redécoupant pour qu'elles s'emboîtent à tout prix.

    La nature a horreur du vide. Les savants aussi. Il leur faudra bien du courage pour rejeter une théorie qui a l'avantage d'occuper le terrain, alors qu'il n'en existe pas d'autre pour la remplacer. Il faut pourtant rejeter totalement et définitivement l'évolutionnisme. Parce qu'il constitue une entrave aux recherches scientifiques. Et aussi, tout simplement parce qu'il est faux. On s'approche beaucoup plus de la vérité en reconnaissant son ignorance qu'en s'obstinant dans l'erreur."

    Cette forte conclusion vient à la suite d'une cinquantaine de pages d'une démonstration pour laquelle on attend toujours une réfutation crédible.

    Des numéros de cette étude sont encore disponibles à

    SA DPF, BP 1, 86090   Chiré-en-Montreuil

  • Pour en finir avec l'évolution

    1765821239dd6568b43d1cb4bb90b979.jpgLa communauté scientifique, les ouvrages de vulgarisation, la presse et les programmes scolaires continuent à se référer aux théories évolutionnistes dont on sait, ou devrait savoir, qu'elles ne sont pourtant que fort peu scientifiques et vivement controversées.

    Dans un ouvrage publié en 1998, Pour en finir avec l'évolution, Daniel Raffard de Brienne porte un coup fatal à ces improbables théories. Il souligne et démontre que les errements de la paléontologie et les récentes découvertes de la biologie moléculaire suffisent amplement à les discréditer.

    Par un raisonnement sans faille, étayé par 195 notes de fin de texte, Daniel Raffard de Brienne conclut que cette théorie ne tient que parce qu'elle est enseignée comme un dogme. D'ailleurs, dans son introduction, il affirme que "l'évolutionnisme ou transformisme, une théorie selon laquelle les espèces vivantes proviennent, en se perfectionnant, d'ancêtres communs et par eux de la matière brute, est, de nos jours, un cadavre dont on maintient à grand peine l'apparence de vie".

    Et de citer le célèbre professeur Delage qui, déjà en 1903, écrivait : "Je suis absolument convaincu qu'on est ou qu'on n'est pas transformiste, non pour des raisons tirées de l'histoire naturelle mais en raison de ses opinions philosophiques". Ou encore cette citation d'un ancien directeur du Muséum, Lemoine, qui notait un peu plus tard : "L'évolution est une sorte de dogme auquel ses prêtres ne croient plus mais qu'ils maintiennent pour le peuple". Et enfin l'illustre Jean Rostand qui curieusement ne voulait pas démordre de ce dogme qualifiait les théories évolutionniste de "conte de fée pour grandes personnes".

    Daniel Raffard de Brienne souligne que le darwinisme et ses divers avatars constituent l'indispensable caution idéologique du matérialisme et, partant, de la négation de Dieu et de la création. C'est pourquoi, rappelle-t-il, Darwin a fortement influencé Marx et Engels et que de façon générale "on trouve dans la propagation du marxisme-léninisme un des plus puissants mécanismes qui ont maintenu en vie apparente ce mort-vivant qu'est l'évolutionnisme".

    Mais aussi, "c'est dans le terreau darwiniste qu'ont poussé le racisme hitlérien et l'eugénisme teilhardien" tient-il à préciser.

    Ce préambule politico-historique étant posé, l'ouvrage s'appuie entièrement sur l'étude des connaissances scientifiques les plus récentes et sur un raisonnement dont la rigueur fait autorité.

    Voici un ouvrage de désintoxication qui pourrait constituer une excellent cadeau de Noël pour des adolescents en recherche et figurer dans toutes les bonnes bibliothèques.