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  • L'hommage d'Alain Sanders

    Alain Sanders rend, dans le quotidien Présent du jeudi 22 novembre, un hommage appuyé à Daniel Raffard de Brienne qu'il a particulièrement bien connu et souvent côtoyé en diverses occasions et manifestations.

    Hommage à Daniel Raffard de Brienne

    La parution, aux éditions Via Romana, du livre posthume de Daniel Raffard de Brienne, L'Islam et les femmes, est l'occasion de rendre hommage à ce grand monsieur qui nous aura, lui aussi, comme Georges-Paul Wagner, A.D.G., Serge de Beketch, Pierre Pujo, quitté trop tôt.

    Une fois par mois, nous déjeunions au Buffalo Grill de la gare du Nord avec Daniel Raffard de Brienne qui arrivait de Lille. "Je me sers du train, quand il n'est pas en grève, comme d'un autobus", disait-il. J'allais le cueillir à la descente du train et nous nous rendions au restaurant, échangions déjà quelques réflexions immortelles sur les hommes et le temps qui passe... Au Buffalo Grill, où il avait ses habitudes, je prenais un bourbon - "Vos manies américaines", remarquait-il - et lui un scotch : "Je n'ai pas un goût immodéré pour les Britanniques, mais le scotch, c'est écossais." Et je garde précieusement une fiasque de poche qu'il m'avait offerte un jour que nous signions de conserve au Salon du Livre de l'Histoire.

    Daniel Raffard de Brienne, personnage par ailleurs très sérieux quand il s'agissait de traiter de choses sérieuses ( et on lui doit, aux éditions de l'Atelier Fol'Fer, deux ouvrages qui font autorité : La Désinformation autour de Jésus et Marie, où il balaie Duquesne, et La Désinformation autour des origines de l'homme, où il renvoie Coppens and Co dans leurs buts), n'aimait rien tant que parler de choses drôles : "Il n'y à rien de pire que les gens qui se prennent au sérieux. Les saints tristes sont de tristes saints."

    Des projets, il en avait encore pour des lustres. La maladie, puis la mort, en ont décidé autrement. Mais même après les sérieuses alertes qui allaient finir par l'emporter, il descendait encore de Lille pour partager le sel, le pain et le vin.

    Président de l'association des Ecrivains catholiques, Daniel Raffard de Brienne nous a donc laissé un dernier petit livre, l'Islam et les femmes, que l'on peut lire comme son dernier message et un formidabla avertissement : "Jamais le droit des femmes et leur dignité n'a tant préoccupé nos contemporains. Pourtant, la mondialisation, le terrorisme et l'émergence de l'intolérance islamiste mettent en relief les injustices et les crimes qui frappent nombre d'entre elles dans le monde."

    Il y à de nombreux - et très imposants - ouvrages sur la manière dont l'Islam traite les femmes. A commencer par Du voile, de l'antiquité à l'islam (Editions de Paris) de Jacqueline Genot-Bismuth et Chiheb Dghim. Mais en quelques pages, Raffard de Brienne dit l'essentiel : oui, l'islam prône la discrimination sexuelle ; oui, l'islam réduit le statut des femmes à celui de mineures à vie ; oui, l'islam réprime par la violence l'insoumission aux hommes ; oui, l'islam pratique la spoliation partielle de l'héritage des femmes ; etc.

    Adieu, monsieur, nous vous aimions.

                                                                                                                                                          Alain Sanders

  • Daniel Raffard de Brienne sur la chaîne KTO

    Archive précieuse, voici une émission de 48 minutes consacrée au Saint Suaire dans laquelle Daniel Raffard de Brienne, en compagnie de trois autres spécialistes de la question, résume l'état des connaissances actuelles sur la sainte relique.

    KTO  - émission sur le Saint Suaire

  • Le secret du Saint Suaire

    ac69bf9279c45027a0eeaaaf6af00c98.jpgLes résultats de la recherche historique, les études iconographiques et surtout la Science, dans ses développements les plus récents, convergent pour démontrer de manière irréfutable que le Saint Suaire est réellement celui du Christ et qu'il est le témoin éloquent de sa Passion et du miracle de sa Résurrection, le seul miracle nécessaire du Christianisme, celui sans lequel, selon saint Paul, vaine serait notre Foi.

    C'est ce témoignage bouleversant qui constitue le véritable Secret du Saint Suaire. Un secret qui a traversé deux millénaires, sans être même soupçonné, pour imposer sa révélation à notre époque blasée et incroyante, la moins propre à l'accepter.

    Un chapitre entier de cet ouvrage d'une clarté remarquable est consacré à ce que l'on peut appeler "l'affaire du carbone 14". Daniel Raffard de Brienne y démontre que l'on ne peut accorder aucun crédit à ce test concluant à un faux alors que l'ensemble des preuves scientifiques précédentes, amplement suffisantes par elles-mêmes, convergent pour attester, de façon indiscutable, de l'authenticité de la relique.

    Voici comment Daniel Raffard de Brienne conclut ce chapitre : "Si le lecteur a eu la patience de parcourir les lignes qui précèdent, il aura noté l'accumulation de contradictions, plutôt surprenantes dans une telle expertise d'un tel objet. Il en aura certainement tiré l'impression du camouflage maladroit d'une substitution de tissus. Et s'il ajoute à cela toutes les anomalies, il conclura que l'on ne peut accorder aucun crédit à la datation faite sous le contrôle du docteur Tite en 1988."

     

    P.S : Daniel Raffard de Brienne fut président du C.I.E.L.T, nous y reviendrons.

  • La désinformation autour des origines de l'homme

    ce1fe12c7a9f6e9eab9e15890d0bbaf4.jpgTroisième ouvrage que Daniel Raffard de Brienne consacra au sujet controversé des hypothèses évolutionnistes. Il s'agit d'une synthèse d'une cinquantaine de pages, très aisée à lire et qui peut constituer une excellente entrée en matière avant d'aborder Pour en finir avec l'évolution.

    Le souci de la synthèse et de la formule de l'auteur apparaissent pleinement dans sa conclusion :

    "La généalogie prouvée de l'homo sapiens (l'homme actuel) ne remonte pas plus loin que... l'homo sapiens.

    Il a existé et il existe des ressemblances entre les hommes et certains animaux, mais on ne trouve pas la moindre trace ni la moindre vraisemblance qui indique les rapports de parenté entre les uns et les autres.

    Il en est ainsi de toutes les étapes que l'évolutionnisme a tenté de définir pour expliquer les faits souvent étranges dont la géologie et la paléontologie découvrent les témoins.

    La théorie évolutionniste se heurte à tant d'obstacles et à tant d'impossibilités qu'il serait déraisonnable de continuer à la soutenir, à moins, bien sûr, d'y être contraint par des motifs idéologiques fort éloignés des données scientifiques.

    Continuer à asséner l'évolutionnisme comme une vérité établie, que ce soit par des films télévisés ou des manuels scolaires, c'est faire oeuvre de désinformation."

     Ce livre est disponible (entre autres) à SA DPF, BP 1, 86190 Chiré-en-Montreuil

  • Evolution : mythe ou réalité

    6ad4dfe736d8a3ca45c0e7e63b2558ec.jpgDans ce numéro spécial de Lecture et Tradition (n° 143-144), Daniel Raffard de Brienne, dans un exposé rigoureusement construit de 56 pages, met à mal les théories évolutionnistes. Passant en revue les connaissances scientifiques les plus indiscutables à ce jour, il en vient à la conclusion que"...l'évolutionnisme, loin d'être un dogme irréformable, ce n'est pas sérieux."

    Une partie de la conclusion de ce fascicule donnera une idée de la conclusion très nette et sans appel que l'auteur retire d'années d'étude des principales recherches scientifiques sur le transformisme ou évolutionnisme.

    "Angoissé par l'incertitude d'un avenir que borne seule la certitude d'une mort sans date ni visage, l'homme sonde éperdumment le passé pour tenter d'y découvrir la clef de son présent dans le secret de ses origines. Mais ses recherches ne lui ont révélé jusqu'ici que quelques pièces disparates d'un puzzle dont il ignore le dessin.

    Il est bien légitime que naisse le désir de reconstituer le puzzle en partant de quelques morceaux retrouvés. Les évolutionnistes s'y sont essayés. Et ils ont échoué. Totalement. Leur reconstitution se heurte, nousl'avons vu, à une série d'impossibilités dont une seule suffirait à la ruiner.

    Les évolutionnistes ont eu raison d'essayer. Ils ont tort de s'obstiner. Il est arrivé qu'un hypothèse erronée fît avancer la Science. Cela ne peut plus se produire lorsque l'on s'entête dans l'erreur au point d'ajouter au puzzle des pièces imaginaires et sans vraisemblance, d'en retrancher d'authentiques qui dérangent, d'en modifier certaines en les redécoupant pour qu'elles s'emboîtent à tout prix.

    La nature a horreur du vide. Les savants aussi. Il leur faudra bien du courage pour rejeter une théorie qui a l'avantage d'occuper le terrain, alors qu'il n'en existe pas d'autre pour la remplacer. Il faut pourtant rejeter totalement et définitivement l'évolutionnisme. Parce qu'il constitue une entrave aux recherches scientifiques. Et aussi, tout simplement parce qu'il est faux. On s'approche beaucoup plus de la vérité en reconnaissant son ignorance qu'en s'obstinant dans l'erreur."

    Cette forte conclusion vient à la suite d'une cinquantaine de pages d'une démonstration pour laquelle on attend toujours une réfutation crédible.

    Des numéros de cette étude sont encore disponibles à

    SA DPF, BP 1, 86090   Chiré-en-Montreuil

  • Pour en finir avec l'évolution

    1765821239dd6568b43d1cb4bb90b979.jpgLa communauté scientifique, les ouvrages de vulgarisation, la presse et les programmes scolaires continuent à se référer aux théories évolutionnistes dont on sait, ou devrait savoir, qu'elles ne sont pourtant que fort peu scientifiques et vivement controversées.

    Dans un ouvrage publié en 1998, Pour en finir avec l'évolution, Daniel Raffard de Brienne porte un coup fatal à ces improbables théories. Il souligne et démontre que les errements de la paléontologie et les récentes découvertes de la biologie moléculaire suffisent amplement à les discréditer.

    Par un raisonnement sans faille, étayé par 195 notes de fin de texte, Daniel Raffard de Brienne conclut que cette théorie ne tient que parce qu'elle est enseignée comme un dogme. D'ailleurs, dans son introduction, il affirme que "l'évolutionnisme ou transformisme, une théorie selon laquelle les espèces vivantes proviennent, en se perfectionnant, d'ancêtres communs et par eux de la matière brute, est, de nos jours, un cadavre dont on maintient à grand peine l'apparence de vie".

    Et de citer le célèbre professeur Delage qui, déjà en 1903, écrivait : "Je suis absolument convaincu qu'on est ou qu'on n'est pas transformiste, non pour des raisons tirées de l'histoire naturelle mais en raison de ses opinions philosophiques". Ou encore cette citation d'un ancien directeur du Muséum, Lemoine, qui notait un peu plus tard : "L'évolution est une sorte de dogme auquel ses prêtres ne croient plus mais qu'ils maintiennent pour le peuple". Et enfin l'illustre Jean Rostand qui curieusement ne voulait pas démordre de ce dogme qualifiait les théories évolutionniste de "conte de fée pour grandes personnes".

    Daniel Raffard de Brienne souligne que le darwinisme et ses divers avatars constituent l'indispensable caution idéologique du matérialisme et, partant, de la négation de Dieu et de la création. C'est pourquoi, rappelle-t-il, Darwin a fortement influencé Marx et Engels et que de façon générale "on trouve dans la propagation du marxisme-léninisme un des plus puissants mécanismes qui ont maintenu en vie apparente ce mort-vivant qu'est l'évolutionnisme".

    Mais aussi, "c'est dans le terreau darwiniste qu'ont poussé le racisme hitlérien et l'eugénisme teilhardien" tient-il à préciser.

    Ce préambule politico-historique étant posé, l'ouvrage s'appuie entièrement sur l'étude des connaissances scientifiques les plus récentes et sur un raisonnement dont la rigueur fait autorité.

    Voici un ouvrage de désintoxication qui pourrait constituer une excellent cadeau de Noël pour des adolescents en recherche et figurer dans toutes les bonnes bibliothèques.